Édito publié le 15 novembre 2019
Plusieurs semaines d’affrontement violents auront eu raison d’Evo Morales : sa réélection contestée en octobre dernier a plongé le pays dans une crise profonde pendant plusieurs semaines. Le 10 novembre, il a appelé à de nouvelles élections pour tenter de calmer le jeu mais les affrontements n’ont pas cessé et, dès le lendemain, sous la pression de l’armée, il a dû démissionner et s’exiler au Mexique où l’asile lui est offert.
Coup d’Etat militaire pour la gauche, juste dénouement pour la droite… Le 12 novembre, Jeanine Añez, vice-présidente du Sénat, s’est proclamée présidente par interim dans des conditions douteuses et appelle à de nouvelles élections en janvier. Mais la fracture risque de s’accentuer pour longtemps, en Bolivie et dans toute l’Amérique latine…
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Three weeks of protests bring down Evo Morales - In Bolivia it's more like khaki vests