La mort rôde… et dans tous les pays touchés, le corps soignant est en première ligne pour combattre le virus. Sa vitesse de propagation est telle que les hôpitaux sont engorgés pour ne pas dire exsangues : la Chine a connu avant l’Europe la déferlante de malades à prendre en charge dans des conditions surréalistes. L’hôpital public, souvent fragilisé par des coupes budgétaires, doit faire face à cette situation inédite avec, trop souvent, une pénurie de matériels de base (masques, respirateurs artificiels, tests de dépistage…) et des soignants de plus en plus contaminés eux-mêmes.
Au 26 mars, on dénombre plus de 7000 décès en Italie, et plus de 4000 en Espagne… Les applaudissements aux fenêtres tous les soirs à 20h sont certes encourageants, mais le respect des règles de confinement demeure le moyen le plus sûr pour freiner la catastrophe. On ne le répètera jamais assez : rester chez soi pour sauver des vies!
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